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{Lecture} “200 aliments qui vous veulent du bien – Le point sur la recherche”, de Jean-Marie Delecroix

J’ai reçu courant septembre un exemplaire de 200 aliments qui vous veulent du bien – Le point sur la recherche, écrit par Jean-Marie Delecroix, naturopathe diplômé, formé à l’homéopathie en faculté de Paris, publié par les éditions Larousse Pratique.

Couv 200 aliments qui vous veulent du bien

L’ouvrage est composé de 200 fiches pratiques et illustrées (joliment, par Clémence Daniel).

Ces fiches sont présentées selon 10 catégories :

  1. Produits laitiers
  2. Matières grasses
  3. Produits de la mer
  4. Viandes et oeufs
  5. Féculents
  6. Légumes et champignons
  7. Fruits frais et fruits secs
  8. Plantes condimentaires, épices, sucres et sirops
  9. Boissons
  10. Plantes médicinales

L’ouvrage se termine avec des annexes : un glossaire, une fiche “compléments alimentaires”, une page “site à consulter” puis un index.

Exemple : l’agar agar

Cet épaississant bien connu désormais, est le premier de la liste dans la catégorie “produits de la mer”.

Déjà, rien que cette classification est intéressante : dans les autres ouvrages de ce type, on l’aurait trouvé à “dessert” ou “aide alimentaire”. Là, on relie de suite les paillettes/la poudre qui aide à la tenue de multiples préparations à son origine : la mer, l’agar agar étant une algue. J’aime. C’est de suite informatif.

Sur la page de gauche, en bas, on trouve un encadré “le point sur la recherche” : il en est de même, à un endroit ou un autre, pour chaque fiche. On apprend plein de choses passionnantes. J’aime.

Tout au long de la fiche, on fait le plein d’autres infos : à quoi sert l’agar agar, comment il est obtenu, comment il est codifié comme additif alimentaire, quels sont ses “plus santé” (fibres, atout minceur, calcium, phosphore, fer, vitamines, protéines), ses atouts secrets (il est antimicrobien et il aide à lutter contre la constipation).

Enfin, on apprend comment le choisir, comment le consommer (miam les recettes de flan au chocolat avec une texture de mousse, flan vanillé ou tarte sucrée !) puis, pour finir, comment le conserver.

Bref, une mine, dont toutes les fiches sont à peu près bâties sur le même modèle.

J’aime, d’autant plus que… c’est ce livre qui m’a fait racheter des navets, un légume qui nous veut un bien que je ne soupçonnais pas, et délicieux en soupe mélangée, ou qui m’a déculpabilisée un soir où le diner n’a été composé que de pilons de poulet rôtis et d’une botte de radis : allez voir la fiche pour ce petit légume croquant, il a apporté à ma famille tout ce qui fallait pour ce soir-là.

Bon, vous êtes convaincus, il vous faut ce livre.

Alors je vous propose deux options :

1/ vous l’achetez {pourquoi pas en suivant mon lien partenaire Amazon, qui me donne en échange 3 sous -c’est de cet ordre-là- pour financer Makanai ;

2/ vous le gagnez. Comment ? Eh bien en allant lire ma Lettre d’information du mois, puis en répondant à la question qu’elle vous pose, en caractère gras, à mi-parcours, en lien avec votre énergie. {réponse avant le 6 octobre 2012}

La réponse qui me sera la plus utile vous rapportera un livre, offert par Larousse.

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16 commentaires

  1. Moi, je ne la gère pas… hyperactive, de jour comme de nuit (jambe sans repos), déjà 2 burning out à mon actif… Mais je viens seulement de le comprendre, à 36 ans, qu’on peut tomber, un jour, à trop avoir donner (parce que malheureusement personne ne nous stoppe dans cet élan de générosité dévastateur).
    Aujourd’hui, j’essaie d’apprendre à ne pas faire, à ne rien faire, c’est déjà énorme pour moi, très stressant. Un peu de relaxation, un peu de méditation.
    Je n’ai pas encore compris où était la limite, la ligne à ne pas franchir… mais j’y travaille!
    Donc je ne réponds pas à ta question, l’énergie, je la dépense, sans compter. Et j’essaie juste de la dépenser moins! Quand j’en serai au stade de la gérer, j’aurai gagné! (je participe quand même, hein? même si je n’ai pas répondu à ta question??)

  2. Moi je n’ai appris à la gérer (un peu) qu’après mon cancer. A trop donner, tout le temps et à tout moment, pour les uns et les autres (la famille bien sûr mais aussi les collègues) je n’ai rien vu venir, même pas cette grosse boule qui poussait là.
    Alors après avoir laissé tomber Paris et son stress, on est partis dans le Sud Ouest, j’ai arrêté de travailler un an, je me suis posée, j’ai beaucoup (trop?) réfléchi et j’en ai conclu, un peu comme toi, que pour vivre mieux, il fallait être EGOÏSTE !!! et oui je le suis bien plus et je ne m’en porte que mieux. Finis les réunions du matin pour le soir, les services pour dépanner les collègues, le document qu’il faut rendre pour la veille: j’ai appris à dire non et ça fait du bien.
    Et puis j’ai aussi appris à me poser, juste 15 minutes, juste pour lire un peu ou buller et tant pis si l’aspirateur n’est pas passé, ça peu attendre demain.
    Je ne pense pas avoir fait avancer le chmilblick mais ça m’a fait du bien d’écrire ces qq mots.

  3. Je ne gère pas bien mon énergie… Je passe mon temps à courir partout et à vouloir aider les uns et les autres. en plus entre le boulot et les études, je n’ai pas vraiment le temps de prendre du temps pour moi.
    Mais récemment, j’ai senti que je ne gérais vraiment plus (grosse fatigue). Du coup j’ai pris un rendez-vous chez un psy pour voir quels étaient mes moteurs dans la vie (également appelés message) et il en est ressorti que j’étais en “fais plaisir” et en “n’existe pas”. Et on travaille sur ces choses là pour que justement je m’accorde un peu d’importance et que je canalise mon énergie dans ce qui est bon pour moi… Du coup, j’ai aussi commencé un sport que j’aime !

  4. Gérer son énergie? (je ne sais pas si je réponds au bon endroit)

    J’aimerai parfois en avoir plus, tout simplement parce que je suis remplie d’envie, de passions surtout et qu’entre la vie de famille et la vie professionnelle, il n’est pas toujours évident d’avoir assez d’énergie pour ensuite se concentrer sur sa vie personnelle.

    Cependant voici mes astuces qui me sont propres bien sur.

    – Mes enfants sont absents à presque la majorité des vacances scolaires. J’ai la chance d’avoir des beaux parents qui les emmènent à la mer, profiter du grand air. A ce moment la, je peux en profiter pour recharger les batteries, faire toutes les choses que j’aimerai faire le reste du temps etc.

    – Je suis positive et j’hésite pas à essayer des choses nouvelles (même si j’ai une nature assez méfiante). Cela permet de sortir de son train train quotidien. Cela peut être tout bête, un changement dans le planning, un nouveau magasin, une nouvelle coiffure… ou même les huiles essentielles tiens (sur votre conseil, merci!, j’aurai jamais osé avant, peu confiante) Et bien ça fait du bien, cela permet de se rassurer quand c’est réalisé. Et puis être positif, ça rend les autres positifs et de le voir, ça fait sacrément du bien.

    – J’ai eut des soucis (et j’en ai encore), avec le comportement d’un de mes enfants. Période dure récemment ou j’étais vraiment à plat, sans énergie. Depuis que j’ai acheté ce livre : http://www.amazon.fr/gp/product/2234056241/ref=oh_details_o02_s00_i00, j’ai appris beaucoup sur moi même, et aussi comment être avec mes enfants. Je suis encore vraiment très loin de la perfection (il me faut de la patience et ça me manque), mais je suis sur la bonne voie, et ça me redonne confiance.

    – Cependant c’est loin d’être encore parfait. J’ai en ce moment l’envie de changer de voie pro, me lancer dans une carrière artistique. Mais cela me parait impossible (ne serait ce en parler à mon conjoint). Du coup ça me bouffe mon énergie, ma motivation.

    Bon j’arrête la, je crois que j’aurai vraiment beaucoup de choses à dire ^^ C’est un sacré vaste sujet, et puis je suis sure que chacun ou chacune ici, vont nous apporter des pistes intéressantes pour soi.

  5. ma méthode à moi …
    après avoir donné … donné… et encore donné… sans jamais rien attendre en retour … bien sûr (ce n’est pas mon style) … le courant de la vie faisant … j’ai décidé de prendre plus de temps pour moi et pour les miens … d’arrêter de m’encombrer ne personnes qui ne méritent pas qu’on s’y attarde ! quelque peu sévère on dirait à lire mes mots … mais non je t’assure makanai … c’est juste se recentrer … la recherche des priorités … sans se perdre … afin de mieux se sentir et de mieux partager … de respirer et de rependre toute l’énergie positive possible !
    prends soin de toi surtout … c’est la recette miracle … car pour aider les autres … il faut déjà se comprendre et se sentir bien !
    des hauts… des bas … des moments acceptables … d’autres moins …des moments magiques …et d’autres dont on se passerait bien !
    mais n’est ce pas ça LA VIE ?
    je t’embrasse et bon courage !!!!

  6. Recharger mes batteries passe par le contact (physique et psychologique) :
    Tous les soirs, avant le coucher, je passe du temps à échanger avec mes garçons. L’un après l’autre, chacun dans son lit, chacun ses envies (lire un livre pour le plus jeune, parler de la vie et philosopher ou lire une pièce de théâtre, etc… pour le plus âgé). Sans contraintes : celui qui ne désire pas ce rituel un soir, pour quelques raisons qui soient, est libre de refuser (y compris moi, lorsque je souhaite regarder un film à la télé).
    Avec mon homme, aller au restaurant, regarder un film (ensemble et non l’un à côté de l’autre sur le canapé, dans ce cas, je ne reste pas !), etc… : échanger. Chacun de nous, avec nos soucis respectifs avons souvent du mal à être comblé. Je me recharge peu de cette façon là, mais quand ça fonctionne, c’est coup triple ! (voire plus !).
    Avec mes copines, quelques soirées filles, une semaine en camping avec/ ou sans nos enfants (mais sans nos hommes), une sortie dans des thermes un jour de RTT, etc..
    Et puis, je m’offre, tous les 2 mois, un massage par une esthéticienne.

    Recharger mes batteries passe, également par aller à l’encontre des idées reçues parce qu’elles ne me correspondent pas TOTALEMENT:
    Un exemple : j’ai eu envie, il y a déjà pas mal de temps, et cette envie s’est précisée récemment, de faire du yoga pour me recharger en énergie et me décharger de mes angoisses. J’ai balancé le pour et le contre pendant 4 mois (je suis lente !), tentant d’évaluer le bénéfice apporté d’une pratique de yoga contre le temps consacré à cette pratique (temps de transport compris). Il m’a fallu ce temps là pour accepter que l’activité (reconnue par tout le monde, « il faut faire une activité physique, c’est important pour tout un chacun » comme étant un grand bénéfice) m‘apporterait moins que le temps passé à la maison à ne pas bâcler un dîner ou discuter (ou lire un livre:)!) avec mes enfants.
    Je suis convaincue que le yoga me conviendrait et m’apporterait beaucoup, mais j’ai fait un choix, ce qui implique qu’il n’y a pas de regret (le contact avec mes enfants m’apporte plus). Et puis, cette décision n’est pas définitive, elle peut évoluer, se modifier dans le temps.

    Enfin, recharger mes batteries, passe par « être égoïste » (oui, on y vient toutes !). En revanche, je trouve le mot « égoïste » inadapté.
    Je m’explique : ma mère voudrait que je l’appelle plus souvent (et que je lui rende visite plus souvent). Ce qui l’intéresse, c’est que je lui parle du temps qu’il fait chez moi, les difficultés que je peux rencontrer dans la vie (et si c’est avec mes enfants (ou mieux, mon conjoint !!), c’est encore plus savoureux) et elle, elle ragote sur les voisins ou la famille !!! Rien qui ne m’intéresse ! Elle appelle de préférence le dimanche en fin de journée lorsqu’on est peinard à regarder un film (un autre rituel avec mes enfants) ou plus tard, lorsque le cafard du dimanche soir se fait sentir.
    Je suis une mauvaise fille, ces discussions avec ma mère ne m’intéressent pas, alors, je ne l’appelle pas ! C’est égoïste (et elle me l’a déjà reproché). Je recharge mes batteries en évitant de vivre ces situations qui ne me conviennent pas. Et le lendemain, sur la route pour aller au boulot, je laisserai plus volontiers cet automobiliste à s’insérer devant moi, dans la circulation; mon sourire sera plus franc lorsque je saluerai la femme de ménage à mon entrée dans le site où je travaille……. l’énergie que je n’aurais pas laissée dans une discussion stérile avec ma mère, je pourrai la donner à autrui….. Et celle-ci est auto-renouvelable ! L’automobiliste qui remercie de la main, la femme de ménage qui me rend mon sourire, me boostent pour une partie (une partie seulement mais c’est déjà ça) de la journée.

  7. Vos commentaires me touchent énormément, je vous remercie du fond du coeur de ce que vous partagez ainsi avec moi en retour de ma lettre d’octobre.
    Je n’ai pas le temps maintenant de vous répondre individuellement (je voudrais “voler” 2-3 heures à ce mercredi pour aller à la piscine, j’en ai besoin, donc je dois faire des choix), mais je le ferai et en attendant, je suis très très touchée. Vos mots me soutiennent, merci, vraiment.
    A dès que possible.

  8. Bonsoir,
    C’est une question bien difficile, surtout pour les femmes-mères actives de notre génération.
    Je dirai que l’on apprend malheureusement a ralentir a nos dépends, quand le corps a tellement donne et qu’il se rebelle. Perso, ce fut un accident ‘domestic’ qui m’a valu une double entorse cervicale et 18 mois plus tard, un joli burn out. Depuis, j’ai comme tu le dis dans ta newsletter, instaure qq moment d’egoisme qui ne sont que pour moi: ciné, musique, un bon bain. Et récemment, j’ai lance un club de couture avec qq copines. La première séance a été un peu subie, ‘encore un RDV de plus dans le planning’, mais la séance passe, je me suis rendue compte que j’avais réussi a mettre mon cerveau au repos, a partager qq fous rires et a me faire plaisir en créant un sac: que du bonheur quoi!
    J’espère que tu trouveras TA solution car, malgré tous les bons conseils que tu peux recevoir, la gestion de l’énergie est assez personnelle.
    Bon courage a toi!

    1. Merci Sylvie.
      Oui toute réponse est individuelle, mais savoir que je ne suis pas seule dans cette recherche est drôlement aidant pour moi.
      Ce n’est pas simple d’apprendre à se sentir exister et à prendre soin de soi quand on a perdu en profondeur le sens de son individualité, et que l’on ne sait absolument plus si on a une importance ou pas…

  9. Bonsoir,
    Rien avoir avec le concours ci-dessus!
    Je vous ai taguée sur mon blog!
    http://sansglutenabeyrouth.blogspot.com/2012/10/blog-tag.html
    Bisous

  10. Bonjour Flo,
    Je n’ai pas encore pris le temps de lire ta newsletter mais je t’envoie des pensées et te remercie pour ta sympathique idée qui permet de réfléchir sur deux thèmes quotidiens :).
    Au fait, est-ce que les légumineuses sont classées dans la partie féculents ?
    Bises chez toi et des caresses aux deux poilus

    1. Bonjour Sandrine,
      Oui les légumineuses sont classées dans les féculents. Il ne faudrait pas ?
      Merci encore, tellement, pour la surprise que tu m’as adressée hier, tu es vraiment adorable !
      Je transmets tes bises, et les caresses aux poilues, qui ont désormais 2 ans, que le temps passe…

  11. Avec une grande demoiselle de 4 ans très demandeuse et un petit bout de 11 mois qui ne faits toujours pas ses nuits, mon énergie n’est pas vraiment au top. Par certains moments elle est même inexistante.
    Je m’occupe d’eux, de mon foyer, je gère, j’anticipe, c’est épuisant à certains moments.
    Et quand j’atteins ma limite, je cris. Pas vraiment une solution satisfaisante, n’est ce pas.
    Alors depuis peu, j’essaye de m’accorder du temps pour moi, pour être plus disponible ensuite.
    Bien sur, pour le faire, il a fallu que mon mari puisse prendre le relais (car nous sommes isolés du reste de nos famille). Je fais donc du yoga 1 fois par semaine pour la détente, le soin de mon corps, et de la danse orientale pour me vider la tête et la créativité.
    Les enfants râlent un peu quand je me sauve, mais tant pis, un peu à moi d’être égoïste.
    Prochaine étape, arriver à laisser mes loulous à une babysitter pour faire des osrties en amoureux.
    J’aime aussi me retrouver entre copines (attention il faut qu’elles soient bienveillantes, ce qui n’est pas tjs le cas, quand on a des enfants, elles sont parfois promptes à juger), j’en ressort regonflée et détendue.
    Bref je me vois comme un verre d’eau, qui se vide à force de donner et qu’il faut savoir remplir sous peine de se retrouver à sec.
    Bye

    1. L’image du verre d’eau est parlante, en effet.
      Je crie aussi, quand je n’en peux plus, et ça casse encore un peu plus..
      Mais nous trouverons des solutions, n’est-ce pas Elodie ?!!
      Plein de courage et merci beaucoup pour ces mots.

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