Nous sommes nombreux à ne plus entretenir une relation sereine et confiante avec notre alimentation.
En tant qu’intolérante alimentaire (blé, seigle, kiwi, certaines fraises et ananas, en particulier) et chercheure en droit de l’alimentation, en tant que mère d’enfants intolérants alimentaires (caséine du lait ou blé), et sans doute aussi en raison de ma nature plutôt angoissée par tout (!), j’ai longtemps été une grande anxieuse alimentaire.
D’aucuns croient d’ailleurs que c’est à cause de cela (= ma faute) que je suis intolérante alimentaire et mes enfants aussi. Je ne le crois pas, mais c’est une autre histoire !
Depuis que j’accompagne des clients en coaching santé, avec une approche de nutrition intégrative, et parce que je travaille en recherche sur des thématiques qui génèrent périodiquement en moi, selon mes “trouvailles”, une bonne dose de stress (éthique, aliments ultra-transformés, respect des besoins personnalisés du “mangeur particulier”, notamment), le terme d’alimenxiété s’est progressivement imposé à moi.
Je vous explique tout cela ici.
Si vous vous retrouvez vous dans cette alimenxiété, n’hésitez pas à me laisser un commentaire et/ou à me contacter. Je suis très intéressée par vos retours, dans le cadre d’un travail de recherche que je mène actuellement.
Et si vous avez envie de travailler avec moi pour retrouver votre sérénité alimentaire, laquelle, eh oui, se construit d’abord hors de son assiette, je suis là.
A bientôt !