Un petit ouvrage réjouit depuis quelques semaines les papilles familiales : Curry Super Facile, d’Orathay Souksisavanh, publié par les éditions Marabout.
Le titre de l’ouvrage ne ment pas, les recettes sont vraiment super faciles, mais pas seulement : elles sont aussi bien pensées, savoureuses et leurs ingrédients ne sont pas compliqués à trouver.
Les recettes sont divisées en 6 rubriques :
- curry de viande (19 recettes)
- curry de la mer (10 recettes)
- curry végétarien (15 recettes)
- pâtes et riz (5 recettes)
- soupes (9 recettes)
- goût curry (10 recettes).
La première de ces recettes qu’a testé ma fille aînée, Héloïse, a été celle des nouilles Singapour : des pâtes de riz rissolées très chouettes, à accompagner d’une belle salade de crudités ou de légumes cuits, avec un œuf au plat éventuellement, pour un repas express.
Notre fille a été ravie de nous régaler en quelques minutes. Nous avons depuis testé plusieurs autres recettes, en les adaptant plus ou moins selon nos envies et réserves. Réussites à chaque fois.
Vous essayez ?
[Pour lire la suite de l’article et la recette, cliquez sur Continued…]
- 200 g de tagliatelles de riz
- 5 oignons nouveaux
- 3 grosses gousses d'ail
- 5 c. à soupe de sauce soja tamari (sans blé)
- 1 bonne c. à soupe de curry en poudre
- 1 c. à café de sucre muscovado
- 2 c. à soupe d'huile d'olive
- 2 c. à soupe d'huile de coco
- Faites tremper les tagliatelles de riz 15 minutes dans un récipient d'eau froide pour les ramollir.
- Egouttez-les et coupez-les un peu, elles seront ensuite plus faciles à manger et se napperont mieux de sauce.
- Emincez les oignons en réservant le vert.
- Pelez et hachez l'ail finement.
- Mélangez dans un petit bol la sauce tamari, le curry et le sucre.
- Dans une sauteuse, faites chauffer les huiles à feu très vif.
- Y saisir l'oignon (pas les tiges, réservées) et l'ail pendant 30 secondes, sans laisser brûler.
- Ajouter le contenu du petit bol de sauce tamari, curry et sucre.
- Mélangez puis ajoutez les tagliatelles de riz.
- Mélangez et laissez cuire 5 minutes environ.
- Eteignez le feu, ajoutez le vert des oignons nouveaux, mélangez. A table !
Elle propose, pour cette recette, des vermicelles de riz, mais j'aime des pâtes plus larges, en particulier celles d'Autour du Riz.
Elle utilise par ailleurs de la sauce soja, à laquelle nous préférons du tamari, sans blé, et de l'huile de tournesol, que je n'utilise jamais.
Les petits + :
- La cuisine de plusieurs pays asiatique comprend une pleine palette de saveurs, et donc du sucre ou un élément sucré dans les recettes à dominante salée, par exemple. Ici, nous avons réduit la c. à soupe proposée dans la recette à une cuillère à café, et notre sucre est complet (muscovado). N’hésitez pas à mettre aussi cette cuillère de sucre. La légère amertume de plusieurs autres ingrédients (tamari, curry, ail) s’en trouve agréablement équilibrée.
- L’ouvrage m’a été adressé à titre gracieux par l’éditeur, Marabout, que je remercie, mais ce billet n’est pas sponsorisé, les liens hypertextes ne sont pas commerciaux.
- Les autres livres de la collection semblent du même acabit, à en juger par les 2 autres livres également reçus Prix mini Super facile et Energie Super facile.
Miam, ça donne envie!
Bises,
Rosa
Avec tout plein de légumes ajoutés, nous aimons vraiment bien. Bises également !
Je reste une inconditionnelle du “sans sucre ajouté” ,y compris dans les recettes, et pense au contraire que le goût de l’amertume fait partie des saveurs proposées en cuisine. Je préfère dans ton idée d’équilibre – que j’approuve par ailleurs – l’ajout dans la même assiette, d’une préparation qui adoucit cette prédominance de l’amer. Un peu comme en cuisine indienne lorsqu’une ou deux cuillères de raïta viennent soulager les papilles saturées d’épices dans le plat principal. Ce n’est que mon avis !
Tu as sans doute raison, mais un poil de sucre ne tue pas forcément l’amertume et ajoute une dimension bien intéressante aussi, parfois. Le dosage sera important, bien sûr.